Les Asturies se considérant une nation historique prope qui s'origine dans la prehistoire. Le nationalisme asturien demande la reconessance des Asturies comme une vrai nation europeénne, avec sa prope langue, histoire el culture asturiennes ou des Asturies. De 1865 sont les premières mouvements nationalistes asturiens por la réunification national avec Gumersindo Laverde et son mouvement pour la réunion de tous les territories asturiens dans une seule organisation politique: Les Asturies, avec ses deux provinces: Oviedo et Santander. Aujourdhui les plussieres partis nationalistes asturiens forment un group des petits partis en poursuivant quelques formes de coalition ou reensamblement politique.
Les Asturies ont une vieille histoire nationale. Occupée par des groupes d’humains depuis le Paléolithique inférieur, les Asturies se caractérisent durant le Paléolithique supérieur par des peintures rupestres à l’est du territoire. Au Mésolithique on vit se développer une culture nouvelle, l’Asturiense ; puis s’est introduit l’âge du bronze, caractérisé par les mégalithes et les tumuli. À l’âge du fer, le territoire fut soumis à l’influence culturelle celte. Le peuple celte des Astures comprenait des tribus comme les Lugons (en latin, Luggoni), les Pésiques (Paesici), et d’autres qui peuplèrent tout le territoire asturien de castros, des villages fortifiés. L’influence celte perdure encore aujourd’hui avec les noms de rivières, de montagnes et lieux ainsi que des noms de peuples et certains prénoms. Selon le linguiste catalan Joan Corominas, le nord-ouest de la péninsule Ibérique conserve le plus grand nombre de mots préromains des langues ibéro-romanes. La conquête romaine entre 29 et 19 av. J.-C. fit entrer les Asturies dans l’Histoire.
Après plusieurs siècles sans présence étrangère, les Suèves et les Wisigoths tentèrent d’occuper le territoire au vie siècle, ce qui se serait terminé au début du viiie siècle avec l’invasion musulmane. Le territoire, comme cela était arrivé à Rome et à Tolède, ne fut pas facile à soumettre ; les derniers partisans de la monarchie wisigothique fondent en 718 un royaume chrétien et s'établissent en 722 comme le Royaume indépendant des Asturies. Le premier roi des Asturies, Pélage (Pelayo), est l'initiateur de la reconquista chrétienne. Il gagne la Bataille de Covadonga en 722. Sous le règne d'Alphonse II le Chaste (791-835), le royaume néo-wisigoth des Asturies s’appuie toujours sur les lois de Receswinthe (653-672), le Liber Iudiciorum, et sur une noblesse de fidèles et d’hommes libres entretenus par le roi ou payés par des dons de terre révocables. Le roi, toujours à court de soldats, n’hésite pas à donner des armes à tout homme libre et à l’intégrer dans ses gardingos'. Il accorde à ces hommes libres des terres vacantes à défricher, dont ils deviennent propriétaires au terme de trente ans de mise en valeur (contrat de pressura). La haute vallée du Minho et la haute vallée de l’Èbre se repeuplent. Au xe siècle, la monarchie asturienne laisse place au royaume de León. L’isolement dont la Cordillère Cantabrique fut l'objet durant les siècles médiévaux fait que les références historiques restent maigres. C’est suite à la rébellion du fils d’Henri II de Trastamare que s’est établie la Principauté des Asturies. S’il y eut plusieurs tentatives d’indépendance, les plus connues furent celles du comte Gonzalo Peláez ou de la reine Urraca (l’Asturienne), qui malgré des victoires importantes, furent mises en échec par les troupes castillanes. Les rois de Castille considérant les nobles asturiens comme peu loyaux, décident de déclarer tout le territoire des Asturies comme de "realengo", c'est-à-dire, soumis directement à l'autorité du roi. Apparaît alors (1388) le titre de Prince des Asturies, à l'imitation du Dauphiné français et de la Principauté de Galles, pour mieux en assurer le contrôle. Il ne s'agit pas d'un "titre d'honneur", mais d'un mécanisme de domination. Au xvie siècle, la population atteint pour la première fois 100 000 habitants, chiffre qui se multiplie avec l'arrivée, le siècle suivant, du maïs américain. Époque contemporaine[modifier] Le 25 mai 1808, l'Assemblée Générale de la Principauté des Asturies' déclare la guerre à la France et se proclame souveraine en levant sa propre armée et en envoyant des ambassadeurs à l'étranger, devenant par là le premier organisme espagnol officiel à entreprendre cette démarche.
L’asturien c'est la langue prope des Asturies, même des Asturies d'Oviedo comme des Asturies de Santiyana. Même si cette langue n’est pas officialisée, elle bénéficie d’une protection spéciale avec l’accord du Statut d’Autonomie des Asturies. L’asturien est une langue qui dérive directement du latin. Elle trouve son origine dans la langue romane utilisée dans les royaumes d'Asturies et le León. Le premier texte connu est la Nodicia de Kesos, qui date de 974, encore en latin, mais contenant des traces du roman asturien primitif. Le premier document écrit dans les règles en asturien est le « Fuero de Avilés » de 1085. L'asturien possède quelques variantes à l'intérieur de la Principauté. Il existe également des dialectes de la même racine asturienne dans les anciennes zones de domination du Royaume des Asturies, par exemple dans les provinces de León, Santander, Salamanca, de Zamora ou de Tras-os-Montes au Portugal. Depuis la Transition il existe un mouvement social qui tente de faire revivre la langue et de la réintégrer en tant que langue officielle. En 1981 se crée l’Académie de la Langue Asturienne, institution de la Principauté des Asturies dont le but est l’étude, la promotion et la défense de l’asturien. Aujourd'hui, la langue la plus utilisée un 60% est le castillan, la seule qui soit officielle. Mais l'asturien est protegé avec la loi du 1998 promulguée par le parlement asturien.
No hay comentarios:
Publicar un comentario